martes, 28 de octubre de 2014

Trick or Treat!

C'est la version Halloween, made in America, de... la bourse ou la vie !
Ou, plus littéralement : un sort ou une friandise ?
Trick désigne le sort, le tour ; du normand triquer, variante du français tricher. En ancien français tricher quelqu'un, c'est le tromper. 
Treat vient du français traiter. Si le sens principal du verbe anglais est le même qu'en français, une nouvelle acception est apparue avec le sens de donner sans contrepartie. Treat, désigne dans ce cadre, une friandise. 

En français, on pourrait dire : trique ou traite?

Le soir d'Halloween, les enfants américains courent de maison en maison pour amasser le plus de friandises. Au Québec, on emploie l'expression courir l'Halloween : les maisons canadiennes sont très espacées les unes des autres !

De nombreuses maisons sont décorées à l'extérieur pour inviter les enfants à prendre des friandises. Ceux qui refusent de donner, on leur joue un tour...

Mais attention: Halloween n'est pas une fête sans dangers ! Les sorcières et les pervers décorent aussi leur maison pour attirer les enfants et leur jouer de très sales tours ! Chaque année, de nombreux enfants disparaissent le soir d'Halloween... Pour la plus grande joie du diable...

Arrivé ce jour , que pensez-vous des fêtes importées ,est-ce pour des raisons commerciales,ou pour l'esprit de la fête,pouvons-nous encore les rattacher à nos fêtes traditionnelles ou culturelles?

La réforme des rythmes à l'école primaire

À la rentrée 2014, tous les élèves bénéficient des nouveaux horaires à l'école. Cette nouvelle organisation du temps scolaire répond avant tout à des objectifs pédagogiques pour permettre aux enfants de mieux apprendre à l'école : favoriser les apprentissages fondamentaux le matin, au moment où les élèves sont les plus attentifs ; bénéficier de 5 matinées au lieu de 4 pour des temps d'apprentissage plus réguliers.


L’objectif de la réforme : mieux apprendre et favoriser la réussite scolaire de tous
    Depuis la mise en place de la semaine de quatre jours en 2008, les écoliers français ont le nombre de jours d’école le plus faible des 34 pays de l’OCDE : 144 jours contre 187 jours en moyenne. Ils subissent de ce fait des journées plus longues et plus chargées que la plupart des autres élèves dans le monde.
    Selon les scientifiques spécialistes des rythmes de l’enfant, cette extrême concentration du temps est inadaptée et préjudiciable aux apprentissages. Elle est source de fatigue et de difficultés scolaires.
    La réforme des rythmes scolaires conduira à mieux répartir les heures de classe sur la semaine, à alléger la journée de classe et à programmer les séquences d’enseignement à des moments où la faculté de concentration des élèves est la plus grande.
    Elle permettra une meilleure articulation des temps scolaire et périscolaire et s’accompagnera d’une prise en charge des élèves jusqu’à 16h30 au moins.
    Les élèves pourront accéder à des activités sportives, culturelles, artistiques qui contribueront à développer leur curiosité intellectuelle et à renforcer le plaisir d’apprendre et d’être à l’école.
    Que pensez-vous de cette mesure si elle est confirmée ?
    Quel bilan tirez-vous de votre redoublement ou de celui de vos proches ?
    Quelles seraient les alternatives crédibles au redoublement favorisant les progrès des élèves ?

Les écoliers français subissent des journées plus longues et plus chargées que la plupart des autres élèves dans le monde. Or cette extrême concentration du temps d’enseignement, unique à la France, est inadaptée et préjudiciable aux apprentissages. Elle est source de fatigue et de difficultés scolaires. La réforme des rythmes scolaires vise à mieux répartir les heures de classe sur la semaine, à alléger la journée de classe et à programmer les enseignements à des moments où la faculté de concentration des élèves est la plus grande. Un décret, publié le 26 janvier 2013, précise le cadre réglementaire national de la nouvelle organisation du temps scolaire, à l’intérieur duquel des adaptations locales seront possibles.

Ecole: faut-il supprimer les redoublements ?

Le ministère de l’Éducation nationale envisagerait de réduire le nombre d'élèves concernés par le redoublement.

Textos de autores rusos y extractos de películas


De viaje por Rusia y su literatura


lunes, 27 de octubre de 2014

Anton Chéjov

Como documentación para el club del autor Antón Chéjov, hemos leído la biografía que de él escriben en wikipedia: http://es.wikipedia.org/wiki/Ant%C3%B3n_Ch%C3%A9jov

Además, una de las compañeras, Adela, nos ha adjuntado un artículo que salió hace unos años en Babelia, en el periódico El País. os dejamos también el enlace para que la echéis un ojo si os apetece.
http://www.perspectivaciudadana.com/novela-cuentos-ensayos-poes%C3%ADa/contenido/por-qu%C3%A9-nos-gusta-ch%C3%A9jov

Ah, y esta era la portada http://www.elpais.com/especial/babelia/1000-portadas/2001-480

Club de lectura de personas adultas. Sesión del 22 de octubre

Y si el día 15 tuvimos una sesión de club de lectura con un grupo, el miércoles 22 tuvimos la segunda con, casi en su mayor parte, participantes del año pasado. Aunque, también hemos tenido caras nuevas.

Tras la presentación del taller y la explicación de su funcionamiento, pasamos a presentarnos y a, como hizo el grupo anterior, recomendar un libro para esos momentos en los que nos planteamos... ¿qué leer? y este fue el resultado:

  • Adela: El aire de un crimen de Juan Benet
  • Lola: El pabellón nº 6 y la Gaviota, de Anton Chéjov. Además de los libros de Gustavo Martín Garzo.
  • Flori: Mil soles espléndidos de Khaled Hosseini
  • Beatriz: San Manuel Bueno Mártir, de Unamuno; y cualquiera de los libros de Torcuato Luca de Tena. 
  • Inés: la hondonada de Jhumpa Lahiri
  • Ana: las emociones tóxicas de Bernardo Stamateas
  • Monse: cualquiera de los libros de Carlos Ruiz Zafón
  • Pili: Yo soy ella de Julia Navarro y de parte de la princesa muerta de Kenize Mourad
  • Maite: Los pilares de la tierra de Ken Follet, y cualquier libro de Camilla Läcberg
  • Raquel: el amor en los tiempos del cólera de Gabriel García Márquez
  • Isabel: La guerra del general Escobar de Jose Luis Olaizola, el hombre en busca de sentido de Viktor E. Frankl
  • Chelo: Madame Bovary de Gustave Flaubert
  • Elisa: Saber perder de David Trueba
un poco justitas de tiempo, como ocurrió en la anterior sesión, comenzamos a leer la biografía de Chéjov y a comentar qué nos habían parecido los cuentos. el pabellón nº6 por lo general nos ha resultado fácil de leer e interesante, nos gusta cómo está escrito y el personaje del médido, y el del supuesto loco. Hemos reflexionado sobre la situación de los manicomios, sobre el pesimismo... y brevemente hemos citado los otros cuentos, que por cierto, según el libro que tuviéramos, había más o menos.  No ha habido tiempo para más, pero en breve, el martes 28 nos volvemos a juntar con el otro grupo del club de lectura y con la gente de Dueñas, Venta de Baños y Aguilar en la primera tertulia virtual.

¡A ver cómo resulta!

Club de lectura de personas adultas. Sesión 15 de octubre

El pasado 15 de octubre nos reunimos el club de lectura de personas adultas. Este año parece que hemos tenido mucho éxito en la convocatoria, y hemos hecho dos grupos. De esta manera, el 16 nos encontramos el primero de ellos.

Tras explicar un poco el funcionamiento del club, pasamos a conocernos, porque las charlas, siempre salen mejor en confianza. A nuestro nombre añadimos un libro, que detallamos ahora por si queréis tomar nota, o guardar los títulos en la memoria.
  • María Luisa: La sonrisa Etrusca de Jose Luis Sampedro. 
  •  Isaías: El desierto de los tártaros, de Dino Buzzati.
  • Raimundo: el reloj de mr. Darwin de Juan Luis Arsuaga
  • Piedad: la orilla de Rafael Chirbes
  • Constantino: La Comunera de Toti Martínez de Lezea
  • Julia: El poder de lo simple, de Leo Babauta
  • Maruchi: La grieta de Doris Lessing
  • Amelia: el Principito de Saint Exupery
  • Petra-Fe: La maestra republicana de Elena Moya
Una vez que nos hemos presentado, y con el tiempo ya justo, pasamos a comentar el libro de cuentos de Chéjov: El pabellón número 6. En general nos gustó y sorprendió, y sobre todo nos hizo reflexionar sobre la locura, qué significa estar loco y quién lo está o no... es decir, ¿no estaremos en realidad un poco locas todas las personas... al menos en alguna ocasión? ¿y por qué se mete a determinadas personas en un manicomio si no son peligrosas? ¿molestan?




miércoles, 15 de octubre de 2014

Los personajes de la naturaleza













Actividades de septiembre La Ruta Natural 2014


Maladie à virus Ebola

Principaux points

La maladie à virus Ebola (autrefois appelée aussi fièvre hémorragique à virus Ebola) est une maladie grave, souvent mortelle chez l’homme.
Le virus se transmet à l’homme à partir des animaux sauvages et se propage ensuite dans les populations par transmission interhumaine.
Le taux de létalité moyen est d’environ 50%. Au cours des flambées précédentes, les taux sont allés de 25% à 90%.
Les premières flambées de maladie à virus Ebola sont survenues dans des villages isolés d’Afrique centrale, à proximité de forêts tropicales, mais la récente flambée en Afrique de l’Ouest a touché de grands centres urbains aussi bien que des zones rurales.
La participation de la communauté est essentielle pour juguler les flambées. Pour être efficace, la lutte doit se fonder sur un ensemble d’interventions : prise en charge des cas, surveillance et recherche des contacts, services de laboratoire de qualité, inhumations sans risque et mobilisation sociale.
Les soins de soutien précoces axés sur la réhydratation et le traitement symptomatique améliorent les taux de survie. Aucun traitement homologué n’a pour l’instant démontré sa capacité à neutraliser le virus, mais plusieurs traitements (dérivés du sang, immunologiques ou médicamenteux) sont à l’étude.
Il n’existe actuellement aucun vaccin homologué contre la maladie à virus Ebola, mais deux candidats sont en cours d’évaluation.


________________________________________

Informations générales

Le virus Ebola provoque une maladie aiguë et grave, souvent mortelle si elle n’est pas traitée. La maladie à virus Ebola est apparue pour la première fois en 1976, lors de deux flambées simultanées à Nzara (Soudan) et à Yambuku (République démocratique du Congo). Yambuku étant situé près de la rivière Ebola, celle-ci a donné son nom à la maladie.