viernes, 31 de enero de 2014

Renewable Energy / It's price

The Guardian recently reported that one of Spain's top sources for electricity in 2013 was windpower (La energía eólica es la fuente superior de España de la electricidad en 2013)

The same week, the New York Times came out with an article that details Spain's withdrawal of support for solar energy--a cut that the Spanish government sees as unavoidable (though it hits small time investors hardest).

The two articles suggest Spain's position as a country pursuing green initiatives at a time of economic crisis. I would like to get your opinion both on Spain as a green country, and the government actions regarding solar power.

What do you think of the government changing its contract and effectively paying less (and even charging) energy producers?  Were these small time investors essentially speculators (who should not have expected the prices to stay in their favor)?  
What are the potential costs of this pullback--how could it harm both the Spanish people and the government? Do they have other options?  


Idioms

I'd like to continue with our discussion of idioms. With this in mind, I have two tasks for you (for those that have time).  

1. Find an english idiom (perhaps one that is new to you); try to find out what it means, and be prepared to explain it to everyone.  
2.  Read the following text by Richard Lederer (available at this link): http://www.usingenglish.com/weblog/archives/000429.html

I find the text to be very funny.  It light-heartedly discusses the weird contradictions of the English language. If you have time to read the text beforehand, do so.  Make a note of anything you have questions about.  Together, we will then go through the article to understand its nuances.


I will also bring several idioms to share (I noticed several when I was watching an American movie the other day).  Feel free to bring any questions you have about idioms, or even a Spanish idiom or two (provided, of course, you can translate and explain it in English)! 

lunes, 27 de enero de 2014

En cette période de soldes, certaines astuces peuvent vous sauver la mise!


Les soldes, procédé marketing et de gestion qui consiste à proposer des réductions sur lesinvendus de la saison précédente, sont devenues un rituel empreint de frénésie, notamment depuis que le capitalisme a fait ami-ami avec le féminisme pour mieux l’asservir. 
Cette période, est donc marquée par d’énormes embouteillages humains dans les grandes surfaces, qui dépiteront les pauvres hommes emmenés de force par leurs épouses enjouées. 

Comment être à l’aise ? Les soldes, c’est l’occasion d’être collé à tous les pingres venus gratter les bonnes affaires (ce que vous êtes, en fait), l’objectif est de les éviter car ils sont chiants, nombreux, collants et sujets à embrouilles (crêpage de chignons pour un article bidon par exemple, envoi de cintres sur le visage de la vendeuse pour certaines). Premièrement, je vous conseille de privilégier les heures bâtardes en semaine si votre job vous le permet, comme le matin par exemple. 
Sinon, privilégiez le net. Deuxièmement, enfilez une tenue confortable et légère, car il fait chaud, et il n’y a rien de pire que de faire des essayages avec trois tonnes de vêtements sur soi et des accessoires lourds à porter.

Privilégiez donc le legging ou la robe près du corps. Idem côté chaussures, préférez les ballerines ou les tennis confortables, et exit les talons ou les chaussures que vous aimez mais qui vous font mal aux pieds (emmenez-les avec vous si vous souhaitez les essayer avec des vêtements en cabine!).

Actividades de La Ruta Natural de enero de 2014

martes, 21 de enero de 2014

Chaque citoyen a-t-il droit au respect de sa vie privée?


Vie privée, vie publique ; espace privé, espace public ; droit privé, droit public ; service public, service privé….ces distinctions sont pour nous courantes et semblent renvoyer immédiatement à des champs, à des territoires bien délimités. On invoque la vie privée pour revendiquer ce qui relève du personnel et de l’intime, ce qui ne « regarde pas les autres » et on parle alors d’un nécessaire respect de la vie privée garantissant une liberté individuelle et les conditions du bonheur. L’exposition de l’intime contre la volonté de l’individu apparaît ainsi comme une atteinte à sa personne et le terme de respect témoigne de la distance nécessaire à conserver.

Cette protection contre toute intervention arbitraire revêt plusieurs aspects :
·         la protection du domicile : par exemple, la police ne peut y pénétrer que dans certains cas fixés par la loi.
·         le secret professionnel et médical : un médecin ne peut révéler les éléments du dossier médical d’une personne sans son consentement.
·         la protection de l’image : il est interdit de reproduire l’image d’une personne sans son autorisation. Cette règle concerne tout le monde et pas seulement les "personnes publiques". Il existe néanmoins des limites tenant au cadre dans lequel une image a été réalisée. La protection n’est pas la même pour une photographie prise lors d’une réunion publique (ex : réunion politique).
·         la protection de l’intimité : des éléments concernant les relations amoureuses ou les préférences sexuelles d’une personne ne peuvent être révélés.

De même, les écoutes téléphoniques sont réglementées. Les écoutes judiciaires, réalisées au cours d’une enquête sur une infraction, doivent l’être sous le contrôle d’un juge d’instruction. Les écoutes "administratives", nécessaires pour protéger la sécurité du territoire (ex : prévention du terrorisme), ont longtemps été réglementées de manière très lâche.

Où se trouve la ligne à ne pas dépasser ,parlons-en jeudi.

miércoles, 15 de enero de 2014

Maigrir vite, c'est mieux?

Après avoir passé de longues heures à table pendant les fêtes de Noël, nous n'avons plus le même poids...
Maigrir vite, c'est mieux? 
Faux "Maigrir du bas en deux semaines", "Une ligne au top en 3 semaines", "Perdez 10 kilos avant l'été"... C'est le printemps et comme beaucoup de femmes vous êtes irrésistiblement attirée par les promesses alléchantes des couvertures des magazines. 


Pourtant, une chose est sûre : maigrir vite, ça n'est pas possible. En tout cas, même si on perd quelques kilos au départ, ils sont vite repris une fois le régime terminé. Donc plutôt que de succomber à la mode des régimes, il est préférable de revoir complètement son comportement alimentaire sur le long terme et d'accepter que ça prendra du temps. Ça ne veut pas dire que vous allez devoir vous priver 12 mois sur 12 ou renoncer à vos plats préférés. N'hésitez pas à voir un médecin nutritionniste ou un diététicien pour vous épauler et vous donner des repères.

Dr Arnaud Cocaul, nutritionniste
"Le risque c'est de ne pas réussir à stabiliser son poids. En plus, maigrir vite induit des troubles du comportement alimentaire (anorexie, boulimie...)."

Grenoble

Arriver à la bibliothèque pour nos réunions de français et...surprise!!  un grand écrand, de l'autre côté deux filles très sympathiques qui se trouvent à la bibliothèque de l'université de Grenoble:
Laura et Ludivine elles sont volontaires à parler français avec nous, sur ses habitudes, sur Grenoble, Strasbourg...et l'Espagne, car elles parlent toutes les deux l'espagnol, un échange culturel intéressant avec des natives sans bouger de chez nous.


Nous attendons des retrouvailles.

VIVE LE PROGRÈ ET LES NOUVELLES TECHNOLOGIES!!

sábado, 11 de enero de 2014

Listado personas ganadoras Premio Fernando Lara de novela

Desde Dueñas, Carmen nos ha buscado la relación de las personas galardonadas con el premio Fernando Lara de novela:


El amargo don de la belleza


La forja de un ladrón


Señorita


La sonrisa de la Gioconda


Un largo silencio


Clara y la penumbra


Los colores de la guerra


Lobas de mar


El último laberinto


El secreto del rey cautivo


Muertes paralelas


El alma de la ciudad


El judío de Shanghai


Esperando a Robert Capa


Barrio cero


Contigo aprendí


La berlina de Prim


Luisa y los espejos


Cuando yo era pequeña no había marcapáginas.



Francamente no me acuerdo con qué se hacían propaganda en las ferias del libro, cómo se estiraban los libreros, ni qué regalaban los viajeros a sus amigos bibliotecarios.
Tampoco me hago una idea de qué estaría coleccionado mi amiga Julia por aquel entonces.
Sólo había en  los misales, y maravillosos;  de cintas de seda de colores (no una sola roja corriente como las agendas de ahora) sino doradas, malvas, celestes, carmesíes y verdes ultramar. Las monjas cosían al final  medallitas que tintineaban como cascabeles cuando rezaban.
Sólo en los libros de cuentos. Más que verse se olían; pan y chocolate, pan y pepino, pan y pan. Algunas migas quedaban presas y pegadas seguramente por el azúcar sobre el aceite. Y por el aceite, bajo el azúcar, aparecían aureoladas de un círculo inalterable.  Otras, sin embargo, rodaban eternamente por el surco que separaba las dos páginas más interesantes de la historia; allá donde quedabas prendida una y mil veces.
Sólo en Corín Tellado o en Marcial Lafuente, los billetes rosados del metro de Madrid.
Sólo en la novela gorda; la brizna de hierba que habías tenido entre los dientes. La menuda concha nacarada en la playa con su séquito de arenas.
Sólo  el libro de geografía cuando cubría la novela mientras el maestro caminaba por tu fila de pupitres.

Cuando yo era pequeña no estaban prohibidos los marcapáginas genuinos; los naturales como la vida misma, los espontáneos de doblar el pico y se acabó. Eran baratos, cómodos e imperdibles aunque una pinta conflictivos pues a menudo olvidabas desdoblar y aparecían tres o cuatro marcas enigmáticas.

No sé cuándo tuve mi primer marcapáginas, pero por lo menos estaba terminando la carrera. Luego vino la debacle. Aprendí a comprar marcapáginas de alfombrilla tejida en seda en Estambul, preciosos Davides con todo al aire en Florencia, gorgonas de cabello de vívoras en Grecia, Torres Gemelas, ay, en Nueva York.
Hasta llegué a confeccionarlos para los niños de los cuentos: Mi mamá me cuenta. En mayo  aprendí a leer. Mi papá no me lee cuentos.
Los hijos y los sobrinos me fueron regalando marcapáginas con flores disecadas, plumas con la mano de Santa Teresa, alguna espadilla de pura plata renegrida con borla de general. Y un prodigio de tecnología conformado por dos imanes que apresan la lectura no sólo en la página sino en el mismísimo párrafo, en la palabra misma que quedó pendiente.

Aquél marcapáginas  había quedado olvidado por otro lector de mi biblioteca dentro de un best-seller americano maltraducido, petardo e intrigante de ineludible  lectura.
Era de los corrientes; rectángulo de cartulina plastificada, rojo total con una sola inscripción en negro, cuerpo 98, fuente Times New Roman : MARCOPÁGINAS.
Me pareció que una errata  había cambiado la A por O. Me lo adjudiqué porque no tenía dueño; yo era la duodécima usuaria del préstamo en un mes y no iba a ponerme a hacer indagaciones...

Estoy segura de que la primera vez lo empleé al terminar el prólogo.  Pero cuando reemprendí la lectura marcaba en la página 83. Le obedecí hasta la 120. Cuando lo recobré a la noche estaba en la página 5. Me vino muy bien porque no me había enterado de nada y volví a leer  hasta la 83.  Sólo al llegar el sábado pude retomar la lectura y  el marcapáginas estaba en la 25. Tenía razón porque lo había leído tan en diagonal (eso que se aprende en los cursillos de lectura rápida) que seguía sin enterarme.
Lo mejor fue que el domingo por la tarde señalaba la página 529. Lo acabé en media hora. No creí necesaria más lectura: los curas se iban a cabrear, el autor iba a hacerse millonario, pasaría al cine. Ella era la depositaria del Santo Grial  y él la amaba.

Por incordiar doblé varios picos pero al poco tiempo se estiraron sin dejar siquiera la huella de la doblez. Introduje marcapáginas intrusos de conocidas librerías. Todos desaparecieron, hasta el de Amazon que ya es audacia.   
Él mismo desapareció de mi best-seller para reaparecer en el otro libro del préstamo:
Era un  de estos de semiología donde a veces salta una sorpresa maravillosa. Se reclinaba entre las páginas  126 y 127. Hablaba de las marcas de la memoria...  Sugería un cuento como éste y en agradecimiento llené de migas la intersección.
Un poco mosqueado MARCOPÁGINAS voló al final. Y se quedó pegado (o sea; que quería un usuario nuevo.)
Lástima que el  autor; Profesor Bernárdez terminara su obra con  miniglosario, bibliografía e índice analítico...
Me habría gustado más un buen colorín, colorado.

Isabel Torres (club de Lectura Virtual de Dueñas)

La Gioconda sonríe en Dueñas

El pasado 8 de enero, con el fin de las vacaciones, nos reunimos en Dueñas en otra sesión del club de lectura virtual, para comentar el libro La Sonrisa de la Gioconda, de Luis Racionero.

Tras leer el material aportado, una breve biografía del autor, y una crítica que hicieron en su momento del libro, es del año 1999; pasamos a comentarlo y analizarlo.

En primer lugar reflexionamos sobre la figura de Leornardo da Vinci y lo que significa ser "el hombre del Renacimiento". Cómo nuestro protragonista era un genio, un hombre enciclopédido, un hombre universal. Este tema nos lleva a hablar del Renacimiento en sí, de su significado: renacer, volver a mirar atrás, retomar la cultura clásica para evolucionarlo. Fue un periodo de la historia en el que todas las artes estaban unidas, no se entendía tener conocimientos en un arte, sin saber de otro

Isabel plantea qué habría sido del arte sin la iglesia,  lo que nos lleva a debatir sobre la iglesia, su  legado, la censura, etc. 

Otro de los temas que nos planteamos es la importancia de la belleza a lo largo del libro, puesto que Leonardo no deja de hablar de ella como algo a lo que todos debemos llegar en nuestros actos, y en nuestro físico también. La Belleza es la percepción del Renacimiento. 

A lo largo de la sesión van apareciendo otras cuestiones, como la manera en la que se presenta a los franceses en el libro: de salvajes  (lo que choca a varias de las participantes); la política, que para Leonardo no es importante, puesto que solo se centra en el arte, y de esta forma sirve a varios señores, sin importar lo que piensesn; su interés por la anatomía humana que estudia a través de cadávares; o la homosexualidad, que parece que en su entorno estaba completamente aceptada como algo normal.

Comentamos ampliamente también la técnica del sfumato, el no delimitar los contornos que deja al que contempla el final de la visión; y la sonrisa de la gioconda, lo andrógino; esa suma de lo masculino con lo femenino, del ying y del yank, del bien y del mal. Que nos lleva al ángel, a lo supremo, a mostar la dualidad del alma humana.

Para finalizar, hacemos una ronda para explicar qué nos ha parecido el libro. En general nos ha parecido interesante, aunque puede que no fuera un libro que muchas hubiéramos elegido por nosotras mismas, y en ocasiones un poco costoso. Es una novela que da pie a investigar y reflexionar. Muchas estábamos de acuerdo en que habría sido interesante que Racionero hiciera notar de alguna forma qué añade él de su "propia cosecha" y qué está extraído verdaderamente de las memorias de Leonardo Da Vinci.