martes, 23 de febrero de 2016

¡Nos divertimos con la ciencia!

pues sí, nos divertimos... ¡y mucho!

Al finalizar la pasada sesión del club nos llevamos a casa el libro Nos divertimos con la Ciencia y hemos tenido todo un mes para realizar muchos experimentos y comprobar que podemos aprender muchas cosas pasándolo bien.

líquidos que no se mezclan, un xilófono de agua, un proyector de estrellas, un payaso que sube y baja... muchos ejemplos que hemos ido haciendo en casa y que incluso hemos llevado a la sesión del club para que el resto de niños y niñas lo vieran.

Por nuestra parte, en el club hemos hecho que nuestros papeles tuvieran movimiento. Es decir, hemos dibujado unas secuencias en distintos papeles que, al pasarlos rápido, parecía que se movían. Esta técnica se llama flip book. aún tenemos que mejorar un poco, pero el primer intento no ha estado mal.

Para la próxima sesión nos llevamos un cómic... terroríficamente encantador.

por cierto, mirad que flip book más bonito

La Sed de Sal

El pasado miércoles 17 de marzo tuvimos nuestra sesión del club de lectura para comentar, esta vez, el libro La sed de sal de Gonzalo Hidalgo Bayal.

Opiniones hubo para todos los gustos. Desde a quien le encantó la novela y disfrutó página por página, hasta a quien, casi, casi le horrorizó.

Todo el mundo coincidió en que las disgresiones, las reflexiones filosóficas que podemos leer en el libro son muy interesantes, pero que, quizá sean un tanto artificiosas, encaladas en una trama algo floja.

Independientemente de nuestros gustos, en el libro, Gonzalo Hidalgo Bayal nos hace reflexionar sobre la incertidumbre, la culpa, el amor, la ética o, por supuesto, la sed de sal.

Mourir par amour

Mourir par amour, ce n'est pas qu'un mythe. Une étude prouve que la maladie du "coeur brisé" est beaucoup plus dangereuse qu'on ne le croit.

Quelques jours après la Saint-Valentin, voilà une information qui devrait faire réfléchir les amoureux. La maladie du "coeur brisé" n'est pas un mythe, mais bel et bien un diagnostic sérieux. Le phénomène est bien connu : une rupture est loin d'être facile. La dépression peut parfois faire des ravages lorsque l'amour s'envole. Mais ce n'est pas la seule maladie qu'il faut craindre. La maladie du "coeur brisé", de son nom scientifique la cardiomyopathie, est beaucoup moins célèbre, mais n'en reste pas moins violente. C'est en 1990 que la maladie est reconnue pour la première fois. Stress émotionnel ou physique, entraînant parfois une défaillance cardiaque aiguë, tel avait été le pronostic des médecins japonais à l'origine de cette découverte. 


Dans le détail, tout commencerait par un choc émotionnel comme une rupture ou la perte d'un être cher. Le stress et la fatigue engendrés déclencheraient chez certains individus une contraction temporaire des petits vaisseaux qui se trouvent dans le muscle cardiaque. S'ensuit alors une baisse de la circulation du sang ainsi qu'une défaillance de l'organe. Les symptômes sont proches de ceux d'un infarctus du myocarde, couramment dénommé crise cardiaque.

Selon les résultats d'une étude scientifique réalisée entre 1998 et 2014 à partir des données de 1 750 patients, la cardiomyopathie est associée a bien plus de complications médicales et de décès que l'on peut croire. Pire encore, le taux de mortalité de cette maladie du "coeur brisé", qui est de 3,7%, est presque aussi élevé que celui des crises cardiaques, 5,3%. Les femmes ménopausées seraient les plus touchées par ce syndrome. Aucun traitement n'est à ce jour disponible. Les scientifiques espèrent que leur étude permettra de sensibiliser les professionnels de la santé. Il est commun de sous-estimer ce genre de maladie.

Comment rebondir après un chagrin d'amour?

Voici trois étapes qui pourraient nous aider:
Étape 1 : Encaisser le choc
Étape 2 : Refaire surface
Étape 3 : Reprendre sa vie en main

lunes, 22 de febrero de 2016

France may pass a law on the 'right to disconnect' from work emails at home

This week a report came out that France is considering a law that will prevent companies from emailing their employees at home. The goal is to increase the separation between professional and personal life. Do you think it is a good idea, too much regulation, or just unrealistic? I'll be interested to hear your thoughts on Tuesday.



martes, 16 de febrero de 2016

Les robots intelligents arrivent, menaçant des millions d'emplois

Des robots capables d'exécuter quasiment toutes les tâches humaines pourraient menacer des dizaines de millions d'emplois au cours de 30 prochaines années.



Dimanche 14 février 2016,
Les progrès réalisés ces cinq dernières années dans l'intelligence artificielle vont permettre de construire des robots, capables d'exécuter quasiment toutes les tâches humaines, menaçant des dizaines de millions d'emplois au cours de 30 prochaines années, s'accordent à prédire des scientifiques.
 "Nous approchons du moment où les machines pourront surpasser les humains dans presque toutes les tâches", a prévenu Moshe Vardi, directeur de l'Institute for Information Technology à l'Université Rice au Texas.
 "La société doit se pencher sur cette question dès maintenant car si des robots font presque tout ce que nous faisons comme travail, qu'allons nous faire", s'est-il interrogé samedi aux côtés d'autres experts lors de la conférence annuelle de l'American Society for the Advancement of Science (AAAS) réunie à Washington.
 Pour le scientifique qui n'exclue pas la fin du travail humain, "la question est de savoir si l'économie mondiale peut s'adapter à un taux de chômage de plus de 50%". Aucune profession n'est à l'abri, pas même les travailleurs du sexe, a-t-il lancé.
 L'automatisation et la robotisation ont déjà bouleversé le secteur industriel ces 40 dernières années, dopant la productivité au détriment de l'emploi. Le nombre de création de postes dans le secteur manufacturier a atteint son pic en 1980 aux Etats-Unis et n'a cessé depuis de diminuer, s'accompagnant d'une stagnation des revenus de la classe moyenne, a expliqué Moshe Vardi.
 Aujourd'hui on compte plus de 200.000 robots industriels dans le pays et leur nombre continue à augmenter.
 La recherche se concentre actuellement sur la capacité de raisonnement des machines et les progrès ces vingt dernières années sont spectaculaires, selon cet expert.
 "On a toutes les raisons de penser que les progrès des 25 prochaines années seront tout aussi impressionnants", a-t-il ajouté.
 Selon lui, 10% des emplois qui nécessitent de conduire un véhicule aux Etats-Unis pourraient disparaître en raison de l'automatisation de la conduite d'ici vingt-cinq ans.
 Bart Selman, professeur de sciences informatiques à l'Université Cornell prévoit quant à lui que "dans les deux ou trois ans (à venir) des machines autonomes (...) feront leur entrée dans la société permettant entre autres la conduite automatisée de voitures et camions mais aussi de contrôler des drones de surveillance".
Cet expert a expliqué que des progrès très importants ont été fait depuis cinq ans notamment dans la vision et l’ouïe artificielles permettant à des robots de voir et d'entendre comme les humains.
- Perte de contrôle des humains -



 Le professeur Selman a indiqué que les investissements dans l'intelligence artificielle aux Etats-Unis ont été de loin les plus élevés en 2015 depuis la naissance de ce domaine de recherche il y a cinquante ans, citant Google, Facebook, Microsoft et Tesla, du milliardaire Elon Musk, soulignant que le Pentagone a demandé 19 milliards de dollars pour développer des systèmes d'armement intelligents.


 Pour Wendel Wallach, un éthicien de l'Université Yale, ces dangers nécessitent une mobilisation de la communauté internationale.
 L'idée, a-t-il résumé samedi, "est de s'assurer que la technologie demeure un bon serviteur et ne devienne pas un maître dangereux".

lunes, 15 de febrero de 2016

This past week a report came out, detailing just how severe the global water crisis has become. Here is an article from the guardian that explains the situation in more detail. I'm interested to hear what you think about Spain having so much red on the map, and if you think it's a big problem.

Four billion people face severe water scarcity, new research finds

Yemeni men inspect an abandoned boat at a drought-affected dam on the outskirts of Sana’a.

martes, 9 de febrero de 2016

The Superbowl

The Superbowl took place this past weekend, and I thought it might be fun to talk about the interesting story of a man who quit the National Football League to become a farmer. Instead of making millions more dollars, he decided to grow food to give to the homeless. I'll be interested to hear your opinions.

Here is a short, 3 minute, Youtube video if your interested in seeing more about him.


Grippe aviaire: inquiétude autour du gel des élevages dans le Sud-Ouest

CONTAMINATION Malgré les réticences du Japon qui souhaite limiter les importations de produits français après que plusieurs cas de grippe aviaire ont été détéctés…
Par RFI

mediaUn élevage de canards dans une exploitation de Benesse-Maremne, dans le sud-ouest de la France.

En réalité, les pays réfractaires craignent plus une contamination de leurs propres volailles en cas d’arrivée du virus sur leur sol. « Vous pouvez imaginer qu’autour d’une production de foie gras, il y a un peu de plumes contaminées par exemple. Ou autre chose. Le Japon veut juste éviter le transport du virus d’un continent à un autre. » Et d’éventuels effets ravageurs sur les élevages locaux.Reste à savoir si cette réaction radicale est adaptée à la « menace ». Pour Thierry Pineau, chef du département Santé animale de l’Inra, il ne faut pas confondre « grippe aviaire et grippe aviaire. Sous ce vocable on peut avoir des grippes qui ont des tropismes différents. Celui-là est restreint à la volaille. Son spectre d’hôte n’inclut pas l’homme. » Autrement dit, celui qui répond au nom de code H5N1 ne présente aucun danger pour l’homme. Son tropisme est strictement aviaire, à l’inverse d’un H1N1 qui avait affolé la France en 2009.
L'interdiction temporaire d'installer de nouveaux animaux doit entrer en vigueur par étapes à partir de demain, lundi, dans les élevages d'oies et de canards de 18 départements du sud-ouest de la France. Annoncée jeudi dernier, la mesure pourrait coûter des centaines de millions d’euros aux professionnels.
Le gel des élevages d’oies et de canards dans le grand Sud-Ouest a pour objectif d'éradiquer l'épizootie de grippe aviaire, selon un arrêté paru samedi au Journal officiel.
L'interdiction s'appliquera dans toute l'Aquitaine le Midi-Pyrénées, la Corrèze, la Haute-Vienne, ainsi que certaines communes de l'Aude, du Cantal et de Charente.
Dans ces zones, la mise en place de canetons de moins d'une semaine sera interdite dans les élevages  dès lundi. A partir du 8 février, les canetons de moins de quatre semaines seront également bannis, puis l'ensemble des palmipèdes à compter du 1er avril.

8.500 animaux abattus

Dans le cas français, la solution de l’abattage a été privilégiée, comme le stipule la réglementation. Huit mille cinq cents canards et pintades ont donc été tués dans trois élevages. Des « zones de protection » d’un rayon de trois kilomètres ont été instaurées autour des lieux concernés, avec confinement des animaux, ainsi que des « zones de surveillance », de dix kilomètres de rayon, aux règles moins strictes. Trois cents éleveurs ou gaveurs se trouvent à l’intérieur de ces zones.

Selon les spécialistes, ces restrictions seraient plus efficaces qu’une vaccination massive. D’abord parce qu’environ 50 milliards de volailles vivent sur la planète. Et que celles-ci ont une espérance de vie très limitée. Un poulet vit entre 35 et 89 jours, en fonction de son statut de « bas de gamme » ou labélisé. Enfin, la vaccination n’aurait aucune garantie d’efficacité à 100 % car ces virus qui s’adaptent et se réarrangent comme les virus humains. Les biologistes devraient modifier en permanence la composition du produit, ce qui ne permettrait pas de vacciner les volailles en temps et en heure.

Indemnisations
Les éleveurs de palmipèdes à foie gras ont estimé que ces mesures leur coûteront entre 250 et 300 millions d'euros et que « des indemnisations de l'Etat seront indispensables ». La branche avicole de la FNSEA a également demandé des « aides financières pour les éleveurs » de volailles. « Il y aura accompagnement de l'Etat », a promis vendredi le ministre de l'Agriculture Stéphane le Foll. Les professionnels attendent aussi que Bruxelles mette la main au portefeuille.

Ce virus n'est pas transmissible à l'homme, selon les premières analyses révélées mi-décembre par l'Agence de sécurité sanitaire de l'alimentation (Anses).

viernes, 5 de febrero de 2016

Ejercicio de escritura en nuestra tertulia virtual: UN ATAQUE DE NERVIOS


1.       Lo primero que vamos a hacer es elegir un personaje, si no se os ocurre, ahí van algunas ideas: 
Una anciana que fue bailarina durante su juventud
Un cartero de una zona rural en la montaña
una miss
Un periodista de prensa rosa
un chef famoso

2. Saca al personaje de sus casillas, haz que, como Agustina, entre en una fase delirante.

Una vez que tenemos al personaje, vamos a intentar reflexionar un poco sobre su vida y su carácter. Pensemos en sus posibles reacciones. ¿Qué tendría que pasar para que ese personaje perdiese el control de sí mismo y sufriese un ataque de nervios? ¿cómo ha sido su infancia? ¿cómo y dónde vive ahora? ¿tiene problemas?

3. Escribe una historia

Una vez que conocemos la historia del personaje, intentaremos la historia, el momento en el que pierde los nervios. Es ese momento en que el personaje pierde el control el punto de partida del relato, o el punto final.
¡Feliz escritura!

FERNANDO – El chef famoso
·         Nuestro protagonista nace en la selva africana, allí vive su infancia en un pequeño poblado comiendo insectos, hormigas…
·         Arguiñano va de viaje a África y lo conoce, ve que tiene talento y se lo lleva a su escuela de cocina vasca.
·         Gracias a su fusión de la cocina que ha conocido en sus orígenes y de los conocimientos nuevos, se convierte en un chef reputado.
·         Conoce a una chica muy snob, sofisticada  y  modelo  en un congreso de cocina, en Madrid Fusión, de la que se enamora-
·         Viven juntos pero ella acaba abandonándolo porque apenas come, está obsesionada con la comida y engordar, y estar con él es un suplicio, no solo por losp latos suculentos, sino porque en un ataque de nueva fusión, está investigando con insectos, y ella eso sí que ya no lo puede soportar. ¡qué asco!
·         A raíz de esto el chef se viene abajo, y se hunde aún más al saber que ella está saliendo con un narco colombiano. Fernando comienza a ver visiones, mientras cocina se le aparecen insectos por todas partes que incluso le hablan. Pierde entonces todo el interés por innovar y comienza un periodo de melancolía apática.
·         De un día para otro aparece su madre, una hechicera que utiliza brebajes con efectos alucinógenos, y cuya presencia no encaja en absoluto en el mundo que frecuenta el cocinero. Esta llegada desata en Fernando una crisis delirante.
Esbozo de relato ideado y escrito por Belén, Mª Ángeles y Raquel.
MARTÍN, UN CHEF FAMOSO
Martín tuvo un padre con un carácter fuerte y poco permisivo. Es machista y en realidad, aunque proviene de una familia acomodada, está acomplejado socialmente. Es adicto a la bebida y a las mujeres. Al ser juez de la audiencia no pasa mucho tiempo en casa.
La madre de Martín es sumisa y está dominada por el marido. También se siente acomplejada socialmente y es médico. Siempre está trabajando e intenta hacer todas las guardias que puede para pasar el menor tiempo posible en casa.
Todos los hermanos de Martín tienen carrera, que hace que sus padres se sientan orgullosos, y todas las paredes de la casa están empapeladas con diplomas. Hay de todo el mundo, menos de Martín, que estudia cocina
Los hermanos tampoco le ven como parte de la familia, no tienen en absoluto las mismas aficiones.
Un día Martín conoce a Juan, un gran profesional con tres estrellas Michelín que le propone trabajar con él. Martín, sin poder evitarlo, se enamora.
En este momento se derrumba todo su mundo porque siempre ha intentado ignorar su homosexualidad, algo visto como depravado por su padre. Martín entra en una gran depresión y se suicida.
Esbozo de relato ideado y escrito por Victoria, Valle y Lola


EDUARDO, UN GRAN CHEF
Chef de cocina que, además de famoso es soltero, sin hijos. Nacido en Asturias, en Tapia de Casariego.
Posee un restaurante, CASA LA ALMENDRA, que se sitúa al lado de la playa, donde su madre era la cociera. Obtuvo una estrella michelín en 2010. La madre tiene una gran influencia sobre el hijo, y él es muy dependiente de ella.
El padre también trabaja en el restaurante, pero como camarero.
A ese restaurante van a comer todos los políticos importantes en el momento, como Álvarez Cascos, Rodrigo  Rato, Rajoy…
Poco a poco y a una edad temprana la madre muestra signos de tener alzheimer, y tiene que abandonar la cocina.
Al hacerse cargo de su madre y su enfermedad, al mismo tiempo que mantiene el trabajo en el restaurante, donde ahora tiene también que cocinar.
Su madre muere y el trabajo es cada vez mayor. Eduardo se ve desbordado y entra en una crisis.
Pierde su estrella Michelín y con ello su interés por el restaurante, ya no acude y la clientela deja de ir paulatinamente. Ya no van personajes famosos porque comienza a dar solo comidas de menú para camioneros, forestales y marineros.
Ante la falta de reconocimiento social abandona el trabajo, le da por la bebida y se echa al monte.
Por allí vaga descuidado, se deja barba y se despoja de todo ropaje. Desnudo, carga con un hacha y va dando voces.
Eduardo al final acaba en un manicomio.
Esbozo de relato ideado y escrito por Isaías, Piedad, Félixy y Amelia.

                                                                                                           
EL CARTERO
Nuestro protagonista vive en un pueblo gallego con muy poca accesibilidad y de cuatro casas.
De padre supuestamente reconocido, aunque todo el mundo sabe que era el cura de la zona.
Su madre le ha dicho siempre de pequeño que ella fue como la virgen María y lo concibió sin pecado, por obra de Dios.
Él, educado por una madre extremadamente religiosa, se convierte en un niño muy introvertido que no juega con el resto de niños porque son brutos y en absoluto del agrado de la madre.
Se refugia en la literatura como único modo de escape.
No se saca el carnet de conducir para no tener que ir a la autoescuela y hablar con la gente.
El cura de la zona, ya viejo (él no sabe que es su padre), le consigue un trabajo como cartero rural.
Nuestro personaje va en bici todos los días recorriendo kilómetros y kilómetros para entregar cartas.
Se enamora de una mujer viuda que encarga libros por correo y que él le entrega, pero es un amor silencioso, nunca le dice más allá de “buenos días, aquí tiene su libro, espero que le guste”.
Un día tiene que entregar a la mujer un libro titulado: cómo organizar una boda. Él, sin saber que es un error de la editorial, cree que ha perdido toda posibilidad de amor. Coge todas las cartas y paquetes y en medio del bosque hace una pira y lo quema.
El incendio se vuelve incontrolable –las facturas del banco arden con una rapidez y virulencia pasmosa- y el bosque entero se quema.
Desde entonces nadie sabe que ha sido del extraño cartero, aunque hay quienes aseguran que cuando paseas por el bosque quemado puedes escuchar palabras que murmuran consejos para organizar una boda.
Esbozo de texto ideado y escrito por Elisa.

miércoles, 3 de febrero de 2016

Zika: dix questions sur un virus qui inquiète

L’inquiétude monte face au virus Zika. Se propageant de manière explosive, il est fortement soupçonné de causer des troubles neurologiques, le syndrome de Guillain-Barré, et des malformations congénitales, les microcéphalies. Lundi 1er février, à l’issue d’une réunion d’experts, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a décrété que l’épidémie constitue « une urgence de santé publique de portée mondiale ».


Transmis par des moustiques, comme la dengue ou le chikungunya, ce virus a déjà touché 1,5 million de personnes au Brésil, et 3 à 4 millions de cas sont attendus sur le continent américain en 2016. Des cas importés ont été identifiés en Europe, dont cinq en France métropolitaine. Accusée d’avoir réagi trop faiblement lors de l’épidémie d’Ebola, l’OMS a annoncé toute une série de recommandations pour mieux lutter contre cette nouvelle menace. L’une des priorités est d’accroître la surveillance des cas de syndromes de Guillain-Barré et des microcéphalies dans les zones touchées par le virus Zika, afin dedéterminer si celui-ci est directement en cause, ou s’il existe d’autres facteurs. L’OMS prône également une intensification des recherches pour mettre au point des traitements, un vaccin et de nouveaux tests de diagnostic de cette infection. Aucune mesure de restriction des voyages et des échanges commerciaux n’est en revanche envisagée.
En dix questions, tour d’horizon sur un virus émergent qui pose de nouveaux défis.

D’où vient Zika, et jusqu’où ira-t-il?
Le Zika est un arbovirus transmis par la piqûre de moustiques du genre Aedes (aegypti ou albopictus). De la famille des flavivirus, comme ceux de la dengue ou de la fièvre jaune, le Zika a été identifié pour la première fois chez un singe macaque rhésus dans une forêt ougandaise en 1947. Il a ensuite été isolé chez l’homme en 1952, en Ouganda et en Tanzanie.
La première épidémie s’est déclarée dans les îles Yap (Micronésie) en 2007, où elle aurait touché les trois quarts de la population. D’autres ont suivi, en Polynésie française d’octobre 2013 à avril 2014, et au Brésil, depuis mai 2015. Les premiers cas brésiliens ont été décrits dans deux articles publiés en mai et juin 2015. Depuis octobre 2015, le virus s’est propagé dans des pays d’Amérique centrale.

Est-ce un virus mutant?
C’est ce qui pourrait expliquer l’explosion récente des cas, selon des experts cités dans le New Scientist. L’hypothèse semble cependant peu probable aux yeux d’autres spécialistes interrogés. L’analyse du génome entier du virus Zika qui circule au Brésil montre une similitude « quasi complète » avec les souches à l’origine de l’épidémie qui a sévi en 2013 et 2014 dans le Pacifique, selon une étude parue dans The Lancet le 16 janvier, menée par les chercheurs de l’Institut Pasteur de Guyane.

Comment reconnaître la maladie ?
L’infection est asymptomatique dans les trois-quarts des cas. Les symptômes, quand ils existent, apparaissent trois à douze jours après la piqûre, sous forme d’éruption cutanée avec ou sans fièvre. A cela peuvent s’ajouter fatigue, maux de tête et courbatures, laissant penser à un syndrome grippal. Le virus peut aussi se manifester par une conjonctivite, un œdème des mains ou des pieds. Ces symptômes disparaissent généralement en deux à sept jours, précise l’OMS. A priori, l’infection est immunisante, ce qui signifie qu’on ne peut pas contracter deux fois ce virus. Zika et ses conséquences chez l’homme restent toutefois mal connus, concèdent les spécialistes.

Comment la détecter?
Les gènes du virus peuvent être repérés par des analyses sanguines, d’urine ou de salive. Mais la fenêtre est courte. « Le virus est présent dans le sang entre trois à cinq jours, dans les urines pendant environ dix jours, dans la salive entre trois à cinq jours. Il n’y a pas de données sur le lait maternel », explique Isabelle Leparc-Goffart, coordinatrice du Centre national des arbovirus (CNR-IRBA). Ces chiffres sont issus de données publiées sur quelques cas. Le CNR devrait fournir prochainement des données plus précises.

Quels sont les risques pour une femme enceinte?
C’est l’un des principaux sujets de préoccupation. Même si la preuve n’est pas encore formellement établie, il est désormais hautement probable qu’une infection par le virus Zika pendant la grossesse peut entraîner de graves anomalies du développement cérébral, comme les microcéphalies (trop petite taille du cerveau et du périmètre crânien, souvent associée à des lésions cérébrales). Les atteintes les plus sévères peuvent conduire à une mort in utero ou dans les premiers jours de vie.

Que faire pendant la grossesse?
Le message est clair : en France, la ministre de la santé Marisol Touraine déconseille aux femmes enceintes de se rendre dans les zones touchées. Le Haut Conseil de santé publique (HCSP) a actualisé ses recommandations sur ce virus le 22 janvier. Celles-ci comprennent l’organisation « d’une information, d’un suivi et d’une prise en charge renforcés de toutes les femmes enceintes dans les zones d’épidémie du virus Zika, que ces femmes soient ou non suspectes d’infection par le virus Zika ». Le HCSP préconise aussi la mise en place « d’un système de surveillance et d’alerte spécifique à la détection d’anomalies congénitales neurologiques ou non ».
La microcéphalie peut être suspectée en échographie au deuxième trimestre de la grossesse, à partir de dix-huit à vingt semaines. Il existe un test diagnostique de l’infection fœtale par l’isolement du virus Zika dans le liquide amniotique après amniocentèse.

Quelles sont les autres complications de l’infection à virus Zika ?
La survenue d’un syndrome de Guillain-Barré (SGB) est l’autre motif de préoccupation. Dû à une atteinte des racines nerveuses, ce syndrome associe des douleurs – musculaires et sur des trajets de nerfs –, des troubles sensitifs (picotements…) et surtout des paralysies d’intensité variable. Après une phase d’extension et de plateau, qui peut durer plusieurs semaines, les signes disparaissent dans 80 % des cas. L’atteinte des muscles respiratoires est la plus redoutée : elle conduit à une assistance respiratoire chez environ 20 % des malades.
Le SGB est rare, sa prévalence est de l’ordre de 1 à 2 cas pour 100 000 personnes en Europe. Il est précédé dans plus de la moitié des cas par des symptômes infectieux, et de nombreux germes, bactéries ou virus, se trouvent à son origine : grippe, cytomégalovirus… C’est aussi une complication de certaines vaccinations. Des dizaines de cas de SGB possiblement liés à une infection par Zika sont en cours d’investigation.

La transmission est-elle possible entre humains?
« La transmission est presque exclusivement vectorielle », note le rapport du HCSP. Un cas de transmission par voie sexuelle a été rapporté dans la littérature. Six jours après son retour d’un voyage au Sénégal en 2008 pour des travaux sur le paludisme, le chercheur américain Brian Foy présente des signes cliniques préoccupants. Quatre jours plus tard, c’est au tour de son épouse, pourtant restée aux Etats-Unis. Tous deux sont infectés par le virus Zika. Une autre étude, publiée en février 2015, mentionne la présence du virus dans le sperme d’un homme de 44 ans vivant à Tahiti (Polynésie française), quinze jours après le début des symptômes.
Des traitements ou vaccins sont-ils disponibles ?
Non. Dans une interview à l’agence Reuters, Gary Kobinger, un chercheur de l’université Laval (Québec) a indiqué qu’un vaccin contre le virus Zika pourrait être testé chez l’homme à partir de septembre, et mis à disposition avant la fin de l’année. Il s’agit d’un vaccin à ADN, issu d’une collaboration entre l’université de Pennsylvanie, le groupe pharmaceutique Inovio et le groupe sud-coréen GeneOne Life Science.
En l’absence de traitement, les recommandations sont d’éliminer les gîtes potentiels de moustiques (vider, nettoyer ou couvrir tous les contenants susceptibles de retenir l’eau, comme les seaux, les pots de fleurs, soucoupes ou pneus, afin d’éliminer les endroits où les moustiques peuvent se reproduire). Les habitants sont invités à privilégier les vêtements longs, clairs de préférence, et à utiliser des répulsifs et des moustiquaires.

La métropole doit-elle s’inquiéter?
Pour l’heure, cinq cas importés ont été recensés, mais des transmissions autochtones sont actuellement exclues, le moustique tigre présent dans le sud de la France n’étant actif que de mai à novembre. Il est néanmoins possible que de petits foyers s’y déclarent, comme cela a été le cas pour le chikungunya et la dengue, soulignent plusieurs spécialistes. Mais une véritable épidémie leur semble peu probable car les concentrations de moustiques sont bien plus faibles en France que sous les tropiques, de même que les concentrations humaines.


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/sante/article/2016/02/02/zika-dix-questions-sur-un-virus-qui-inquiete_4857580_1651302.html#DxoeIvixffPQgmLO.99 

martes, 2 de febrero de 2016

Entrevista a Laura Restrepo en BBC Mundo

No estamos condenados"
Roger Santodomingo
BBC Mundo

Laura Restrepo (Foto Carlos Duque, cortesía de Alfaguara)
Para Laura Restrepo "la literatura es un juguete que remeda la realidad"
Laura Restrepo nunca ha probado droga. Ni siquiera se ha puesto un pitillo de marihuana en los labios para no aspirarla después. Porque dice ser adicta a la lucidez. Su pasión es tener los cinco sentidos alerta sin nada que los nuble. Por eso, es una libertaria a morir y se bate a favor de la legalización de las drogas como el primer paso para liberar a su país de una guerra que lo desangra.
Su última novela, Delirio, ganadora del premio Alfaguara de novela 2004, es tan desgarradora como la realidad de Colombia, el país en que se ceba la escritora para alimentar unos personajes ricos, auténticos, luminosos.
En el lobby de un hotel de Miami conversamos sobre sexo y drogas, democracia y terrorismo (mejor, sobre sexo y democracia, y sobre drogas y terrorismo), es decir sobre la literatura y su delirio.


La novela es muy conmovedora. Tuve la impresión de que su conocimiento del delirio de sus personajes era tan personal que lo vivió en carne propia.
El punto de partida fue una hipótesis. Una duda. Yo venía escribiendo una novela. De golpe por la mitad me pareció que no era juego limpio partir de la base de que personas que vivimos realidades exteriores tan delirantes estábamos cuerdos. Tenemos que estar muy locos para podernos adaptar a esta convulsión brutal que es el mundo de afuera. Te hablo de los habitantes de Colombia, de Venezuela, de Irak o de los propios Estados Unidos entre tantos sitios en el planeta tan convulsionados. Estas realidades tienen que hacer transformaciones profundas en nosotros.

¿Cómo aprendió tanto de la locura? Investigo. Fui periodista por muchos años y hay mañas del oficio que no logro superar. Si bien lo que investigo después lo transformo en ficción, porque son novelas de ficción lo que he hecho en los último quince años. Aunque ahora sólo hago ficción no puedo zafarme de la investigación. Tengo que salir, meterme en la casa de la gente, averiguar sus motivos, hablar con ella para alimentarme.
¿Qué es la locura?

La locura es una codificación distinta del universo y de sí mismo. Se puede describir como un viaje por un país extranjero en el que estás solo y nadie te puede alcanzar.
Aunque no tengo en el libro una visión poética sobre la locura, la siento como un territorio de soledad donde los códigos que te permiten comunicarte con las demás personas están quebrados. Es como una lengua extranjera que tiene su propia lógica y coherencia. Una coherencia desgarradora, dolorosa para la persona que incurre en ella. Extranjeros en su propia cabeza, su familia, su país. ¿Cómo los conoció y convirtió en personajes?
Visité instituciones mentales donde pude hablar con gente con perturbaciones de la cabeza. Pero sobre todo investigué entre familiares de gente que tiene estos problemas. Porque mucho más que la visión médica que no aparece para nada, lo que aparece es gente del montón que desconoce lo que es la locura pero tiene que lidiar con ella porque la golpea de cerca.
De hablar con familiares pude hacerme una idea de lo que podía ser el personaje de Aguilar. Aguilar es ese hombre enamorado de su mujer que tiene que enfrentarse al hecho terrible de que ella pierde la cabeza y tiene que recurrir a su única arma que es el amor que siente por ella para tratar de salvarla de ese laberinto de la locura.
Entonces, el mundo está loco. ¿Es esa su tesis?
No, pero de pronto estamos experimentando colectivamente que el nivel de locura ambiental está subiendo a niveles excesivos y hay razones históricas y políticas para pensar que eso es así. Por ejemplo, esta guerra al terrorismo que empieza a latir como una amenaza en todos lados.
Estos gobernantes que sacan a relucir la posibilidad de la guerra con otros pueblos o con su mismo pueblo como si fuera una carta de la baraja, como si no tuviese implicaciones nefastas para todo el mundo. Nos sentimos avasallados por la locura ambiental y entiendo esta novela como un intento de no sucumbir a esa locura.
¿Cree que este delirio colectivo tiene cura o que estamos condenados?
Portada del libro Delirio de Laura Restrepo (Laura Restrepo (cortesía de Alfaguara)
Colombia es el escenario donde se cruzan dos de las grandes mentiras contemporáneas, la guerra contra la droga y la guerra contra el terror. Es un país que se está desangrando por culpa del narcotráfico y su supuesto antídoto que es la guerra contra la droga.
No estamos condenados. Es contraproducente buscar respuestas de tipo metafísico como decir "es que los colombianos somos violentos" o que "los venezolanos no tenemos solución", pienso que hay políticas muy concretas que son la causantes de este descalabro que estamos viviendo. Los pueblos, las distintas culturas tienen que convivir armónicamente. Solazarse en sus diferencias no podemos temernos los unos a los otros como si unos fueran gente civilizada y los otros fueran bestias al acecho porque eso lleva a la destrucción.
¿La gente está loca o la volvieron loca?
Eso tiene nombres propios hay gente que ocupa las presidencias de ciertos países que están fomentando políticas que tienden a desquiciar a unos pueblos contra otros. Hay gobernantes que dentro de sus propios países le dan prioridad a las salidas guerreras, militaristas sobre otras urgencias. Yo no estoy de acuerdo para nada con el presidente George Bush ni con la guerra de Álvaro Uribe en mi país.
¿Y hay solución a esta guerra?
No cuando se desconoce una verdad de apuño que es que todo el enredo feroz, violento, desgarrador del narcotráfico surge precisamente de la prohibición de la droga. Cuando a mi me preguntan si hay alguna solución para el problema aparentemente insoluble del narcotráfico en Colombia yo le digo sí, hay un inicio de solución que se resumen en una palabra, legalización. El día que legalicen la droga, porque lo van a hacer, ¿alguien se va a acordar de que existía una nación llamada Colombia que se desangró por la guerra contra las drogas?
Dicen que el temor siempre pone en peligro la libertad. Y algunos temen que la legalización desate otros fantasmas.
Hay motivos inconfesos. Se dice que el narcotráfico es el negocio de los narcotraficantes colombianos. Desde luego que lo es y tenemos seres aterradores en esa trama, pero es un negocio para mucha más gente que para los negociadores colombianos, tal y como lo describo en el libro. En Colombia solemos decir que la droga "entra" a países del tercer mundo, pero quién los mete. ¿Por qué los únicos narcotraficantes que mojan periódicos son los colombianos? ¿Dónde están las mafias norteamericana o europea? ¿Por qué no figura ni se le menciona?
Como le decía, parece que el mundo está divido entre sus temores, ¿hay una salida a este mundo en blanco y negro?
El libro tiene como telón de fondo esa realidad que es el lavado de dólares, otra de las hipocresías contemporáneas que nos llevan al delirio.
Claro que sí. Ya lo estamos viviendo. Yo estuve en España cuando ese pueblo protagonizó dos manifestaciones masivas y deslumbrantes. La primera contra el terrorismo cuando habían puesto las bombas que causaron las víctimas de Atocha. Pero unos días después salió también en masa a oponerse contra el terrorismo de Estado como forma de lucha contra el otro terrorismo y de hecho eso se expresó en las urnas con la caída de Aznar. Y como no fue reelegido Aznar, también hay la posibilidad de que no sea reelegido Bush. Creo que ese cuarto de hora de los que creen que la guerra, enfrentar a hombres contra hombres, pueblos contra pueblos sea la salida para la humanidad, se acabó.
Y ¿quiénes son la alternativa a la locura política que usted describe?
Pienso que en el mundo hay corrientes pacifistas, democráticas de mucha envergadura que han salido a manifestarse por millones en las calles. Otra cosa es que los dirigentes y los gobiernos no quieran medir y se hagan los locos con la presión popular tan grande para encausar a la humanidad por la vía de la democracia. La democracia es un patrimonio de la humanidad. Es una conquista que se ha logrado con una serie de luchas a lo largo de los años.
En América Latina, según recientes estudios de la UNCTAD, el prestigio de la democracia está por el suelo. La tendencia es a elegir democráticamente líderes que no necesariamente creen en la democracia.
Nuestro continente está hecho mayoritariamente por gente de paz que pelea por sus derechos usando la palabra y la fuerza de su espíritu.
Por eso yo decía la democracia como razón de los pueblos. Estamos entrando en una época de democracia formal donde los gobiernos ejercen el poder en contra de la verdadera democracia. Desde luego que las invasiones del presidente Bush, las hace a nombre de la libertad y la democracia. Tenemos que un principio elemental de la democracia que es el derecho de las naciones a su independencia, a su soberanía al derecho de los pueblos a existir a las diferencias religiosas y culturales que a veces se ven avasallados en nombre de la democracia.
¿Cuál es el camino hacia esas instituciones en países como los nuestros o en pueblos e Bolivia o Perú donde comunidades Aymaras linchan a sus alcaldes?
Hay miles de movimientos en América Latina que pacíficamente y por la vía de la razón logran presionar por sus derechos. Yo no soy partidaria de la guerrilla, que se presenta como enemiga de la población con los secuestros, los golpes contra los pueblos y cobrando sus víctimas inocentes.
Estoy a favor de la población desarmada que es absolutamente mayoritaria. Hay pueblos enteros en mi país que se declaran territorios de paz y que se niegan a jugar el juego de las fuerzas armadas, los paramilitares y los guerrilleros. Pero la guerra que tiene desatada el presidente Uribe no acaba con la guerrilla. Es sorprendente, en un país con la guerra tan intensa que hay, la víctima de esa política es un movimiento pacífico y democrático que está siendo aplastado. Nuestro continente está hecho mayoritariamente por gente de paz que pelea por sus derechos usando la palabra y la fuerza de su espíritu.