miércoles, 17 de febrero de 2021
Faut-il accorder le droit de vote à 16 ans ?
lunes, 8 de febrero de 2021
La loi Évin
- Petite histoire de la consommation de la cigarette :
La loi Evin a 30 ans :
retour sur la politique de lutte contre le tabac en France en quatre actes La loi Evin,qui
interdit le tabac dans "les locaux à usage collectif" et qui
interdit également la vente de tabac au moins de 18 ans a été promulguée le
10 janvier 1991. Mais si la lutte contre le tabagisme s'intensifie depuis les
années 90,ça n’a pas toujours été le cas. |
https://www.youtube.com/watch?v=Y0pdUyFC7As&feature=emb_logo
1976 : Ma première cigarette
| Archive INA - YouTube Abonnez-vous http://bit.ly/inasociete À la bonne heure
| TF1 | 06/10/1976 Enquête à l'école secondaire d'Athismons où s'est déroulée
une campagne anti-tabac ... |
martes, 12 de enero de 2021
Notre droit n’est plus en mesure de sauver des vies: la bureaucratie française, coupable idéale des ratés de la vaccination
L’exécutif critique l’administration de la santé pour la lenteur de la mise en place de la stratégie vaccinale qu’il avait lui-même validée. Il y a « un risque de rupture avec l’opinion », selon les sondeurs.
Le document compte 45 pages, cinq chapitres, quatre annexes et un luxe de détails, allant de la taille des aiguilles requises à la procédure visant à s’assurer du consentement des patients avant de leur injecter le précieux vaccin contre le Covid-19. Fallait-il 45 pages à en-tête du ministère de la santé pour guider un personnel de santé déjà soumis à un code de déontologie et, a priori, coutumier de piqûres en tout genre ?
Alors que la pandémie continue de flamber, décimant chaque semaine des centaines de Français, le guide de l’organisation de la vaccination distribué aux établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) et aux unités de soin de longue durée est venu illustrer l’une des causes présumées de la lenteur de la vaccination contre le Covid-19 en France : la bureaucratie.
« Protéger en priorité les aînés dans nos Ehpad, oui. Leur pondre un guide de vaccination incompréhensible de 45 pages, non », s’est agacé Emmanuel Macron lundi 4 janvier après avoir fait étalage, la veille, de sa « colère » en « une » du Journal du dimanche. Le chef de l’Etat, qui prétendait incarner une nouvelle pratique du pouvoir, plus agile et plus efficace, ce président d’un « nouveau monde », se retrouverait donc, à son tour, embourbé dans la pire crise du XXIe siècle du fait de ce jacobinisme si français.
Failles du système de santé
L’administration, et en particulier celle du système de santé, est décrite comme un millefeuille d’institutions prisonnières les unes les autres de protocoles, de règles et de précautions, qui priveraient l’ensemble de cohérence, de pragmatisme et de bon sens. Après le raté des masques, l’échec des tests, les critiques envers la stratégie vaccinale confirment les défaillances d’une organisation incapable de répondre à l’urgence sanitaire.
A chaque fois, la logistique déraille et la communication, confuse et maladroite, alimente la défiance du grand public. Les failles du système de santé sont d’autant plus criantes qu’ailleurs, notamment à Bercy, la fonction publique a su se mobiliser pour déployer des aides massives et inédites en un temps record, sans tomber dans les travers habituels de formulaires à remplir ou d’attestations à fournir.
La France compte 93 000 administrations (Etat, Sécurité sociale, collectivités territoriales) qui peuvent dépenser de l’argent public, contre 15 000 en Allemagne, rappelait la Cour des comptes dans son dernier rapport de novembre 2020.
Sur le terrain, maires et collectivités locales se plaignent de l’arrogance des hauts fonctionnaires, qui les méprisent à un moment où l’union sacrée devrait primer
« Il y a un problème d’organisation : l’administration fait beaucoup trop de choses, car les Français le demandent. Dès qu’il y a un problème, il faut une nouvelle réglementation, estime François Ecalle, ancien conseiller-maître à la Cour des comptes et fondateur du site d’analyse Fipeco. De plus, en France, on a une organisation des ministères très verticale, en silo. Le ministre donne ses instructions à des responsables de programmes, qui eux-mêmes délèguent les crédits aux responsables dans les territoires. En parallèle, au niveau local, les préfets sont sous tutelle du ministère de l’intérieur. Bercy voit des ministères verticaux comme plus efficaces. Mais la seule solution serait une réelle décentralisation. »
Sur le terrain, maires et collectivités locales se plaignent, de leur côté, de l’arrogance des hauts fonctionnaires, qui les méprisent à un moment où l’union sacrée devrait primer. « Si l’Etat nous faisait confiance, on aurait une procédure vaccinale qui marche. On a l’habitude de faire, on a les locaux, lycées, collèges, les moyens de transport et une capacité de mobilisation record ! Mais l’Etat nous regarde et se dit : “qui sont ces ploucs ?” », se désole Hervé Morin, président du conseil régional de Normandie.
Pour Alain Lambert, cette défiance du pouvoir central et ce souci du détail auraient été accentués, paradoxalement, par les différentes lois de décentralisation. L’Etat, n’étant plus acteur mais prescripteur, aurait compensé sa perte de pouvoir par un hypercontrôle. « C’est comme si un général des armées décrivait une à une les actions à mener par les soldats pour gagner la guerre. On est dans une guerre sanitaire, ce n’est pas possible ! », poursuit M. Lambert.
La « bureaucratie », ennemi invisible et coupable idéal ? « Isoler la technostructure comme une force du mal est une erreur de raisonnement », pense Martin Hirsch, directeur général de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris.
L’homme, qui se décrit comme un « bureaucrate en chef », ne nie pas les lourdeurs qui pèsent sur le système de santé et, plus largement, sur le fonctionnement de l’Etat. Mais, à l’en croire, elles ne sont en rien responsables de la lenteur des vaccinations. « La stratégie était de se concentrer dans un premier temps sur les Ehpad, et seulement après de s’adresser aux autres publics. Le 31 décembre, on nous a autorisés à vacciner les soignants de plus de 50 ans. Le 2 et le 3 janvier, des milliers de personnes étaient vaccinées », rappelle-t-il.
«Il y a des gens dans la crise qui se défoncent dans les agences régionales de santé et au ministère. Ils sont à fond jour et nuit, et on dit “c’est qui ces bureaucrates qui n’en foutent pas une ?”, s’énerve un haut fonctionnaire très au fait des questions de santé publique. Si on nous demande s’il y a de la frustration parce que la machine est lourde, la réponse est oui, mais quel est le bon système ? En Allemagne c’est souvent compliqué entre les Länder, en Espagne c’est le bazar. » Et d’ajouter : « Le protocole de 45 pages pour la vaccination n’est pas sorti du cerveau malade d’un bureaucrate, mais c’est le fruit de mois de discussions avec les médecins et les professionnels de la santé.»
La « colère » d’Emmanuel Macron envers la langueur de l’Etat prend ainsi pour certains des allures de mise en scène peu fair-play. Avant qu’éclate la polémique, le chef d’Etat n’a-t-il pas validé sans ciller la stratégie vaccinale ? Et l’énarque, ex-inspecteur des finances, qui avait fait de la réforme de l’Etat l’une des priorités de son quinquennat, peut difficilement masquer son propre échec dans ce domaine.
Qu’a donné le Comité action publique 2022, installé en grande pompe en 2017 pour réformer les missions de service public et réduire la dépense ? « Rien », souligne l’économiste Jean Pisani-Ferry, qui fut l’un des architectes du programme présidentiel. « C’était une armée mexicaine, reconnaît Philippe Aghion, professeur au Collège de France, qui y participa. On a mis de la bureaucratie pour s’occuper des bureaucrates… »
« Pour Emmanuel Macron, c’est l’heure de vérité, conclut le politiste Jérôme Fourquet. Le premier confinement avait été un gros crash test pour l’appareil d’Etat, et hormis sur les aides économiques, le résultat n’a pas été concluant », dit-il, évoquant les stocks de masques qui pourrissaient dans des hangars de l’Etat et ces infirmières qui fabriquaient des surblouses à partir de sacs-poubelle. « Le deuxième crash test est celui des vaccins, et c’est encore catastrophique », pense-t-il.
lunes, 30 de noviembre de 2020
"Réfugiés", "migrants", "exilés" ou "demandeur d'asile" : à chaque mot sa fiction, et son ombre portée
Vous trouverez ci-joint le texte pour la
semaine prochaine. Laura vous a parlé des violences policières en France, nous
en profiterons alors pour travailler sur l’évacuation d’un camp de migrants à
Paris au cours de laquelle la police est intervenue (une intervention très
contestée). Cela nous permettra de parler de l’immigration et d’avoir un débat
sur le lexique employé pour se référer aux migrants.
L’article est long (6 pages), pour vous
faciliter le travail j’ai donc repéré les mots de vocabulaire (à la fin de
l’article, p.7) qui pourraient vous poser quelques problèmes. Il ne vous reste
plus qu’à chercher leur signification. Bon courage !! Si vous avez des
questions, n’hésitez pas à envoyer un message.
lunes, 16 de noviembre de 2020
Nos libertés fondamentales sont-elles menacées par les mesures de lutte contre la pandémie?
Je vous invite à
écouter cette émission de dix minutes pour répondre au débat suivant :
Peut-on restreindre les libertés fondamentales au profit d’une urgence
sanitaire?
Lien de l’émission : https://www.franceculture.fr/emissions/la-question-du-jour/nos-libertes-fondamentales-sont-elles-menacees-par-les-mesures-de-lutte-contre-la-pandemie
Notez
aussi le vocabulaire que vous ne comprenez pas.
martes, 10 de noviembre de 2020
La boîte à bébés
Je vous joins également un lien internet d'un article sur le même sujet:
Bonne journée.
lunes, 11 de mayo de 2020
Talleres de conversación online
Hemos realizado varias sesiones por Skype y Zoom.
Han sido unas quedadas virtuales en las que el coronavirus ha sido uno de los principales asuntos que hemos tratado, para después continuar con los temas propuestos.
¡Nos vemos los martes en inglés y los jueves en francés! 😉